Arbre de l’individu

 

 

 

ADULTE

 

ADOLESCENCE

PUBERTE

ENFANCE

 

ADN

 

GENETIQUE

 

 

Les racines prennent leurs vitamines dans le sol qui les nourris

L’enfance

À cette étape de vie, l’individu est en formation autant psychique que physique.

Au niveau psychique, la personne apprend le système de règles et conséquences. Ce que nous devons savoir de ces petits êtres, c’est qu’ils sont des petits génies créateurs, constamment dans leur tête. Ils interprètent tout ce qu’ils voient et entendent, surtout les gestes dont ils sont témoins. Ils en font une histoire qui ne reflète pas la réalité.

Ils placent dans leur mémoire l’interprétation qu’ils font des événements qu’ils vivent. Ce processus est bon que pour l’enfant lui-même. Quand il avancera dans son évolution, il soutiendra son histoire hypothétique ainsi que les sentiments qui en ont découlé. (haine, rancune, etc.) Cela entraînerait des brisures au sein de sa famille, il chercherait un coupable, il accuserait ses parents d’être les responsables de ses malheurs. Ses états d’âme occasionneraient chez lui, sans qu’il en soit conscient, des attitudes provocantes que l’autre ne comprendrait pas.

Si nous voulons l’aider à rétablir les faits, nous devons tenter d’établir un lien de confiance, l’écouter sans le juger, sans l’accuser, sans lui faire la morale, sans émettre notre opinion. Toutes suggestions influenceraient l’enfant et l’empêcheraient de rétablir sa réalité.

Si nous négligeons de l’accompagner adéquatement dans sa démarche, il grandira avec une fausse histoire, qui lui apportera des difficultés dans sa vie future.

Physique

À la naissance l’enfant n’a aucune notion, il doit tout apprendre. C’est par l’exemple que les parents et la société vont transmettre leurs savoirs. Les parents (papa, maman) sont ce qu’ils sont, ils font ce qu’ils font, ils communiquent ce qu’ils possèdent, sans mauvaise intention, car ils sont encore dans leur évolution.

Ils lui apprennent l’importance de bien se nourrir, de bien dormir, de faire de l’exercice physique, et comment s’occuper de leurs soins d’hygiène, ainsi que de leurs bienséances, etc.

La société : tous ceux qui entourent l’enfant, parents, famille, amis(es), professionnels de soins de santé et d’enseignement, etc.

C’est grâce à leur bonne attention que l’enfant évoluera et sera une personne indispensable pour la société.

La puberté

La puberté, c’est la période qui s’étend depuis la fin de l’enfance jusqu’à la transformation physique. Aujourd’hui, nous semblons ignorer l’importance de la période de la puberté dans la vie d’une personne.  Pourtant, c’est à cette étape que la personne installe ses assises et que sa sexualité se réveille.

Chez les garçons, leur sexualité s’amorce, dès que les testicules produisent des spermatozoïdes, tandis que chez les filles, c’est dès leurs premières menstruations.

Elle se traduit par un changement dans le caractère.  Le psychique se modifie par l’apparition d’idées nouvelles; l’instinct sexuel se développe. Le pubère découvre son appartenance sexuelle (homosexualité, trans genre, pédophilie, inceste et autre) cela est un phénomène inné.

Le jeune manque de connaissances, mais les hormones commandent; il ne sait comment gérer ses envies sexuelles, alors, il agit de façon maladroite. Il serait tout indiqué qu’à l’intérieur d’une formation académique, une session sommaire en relation humaine soit incluse. Ce cours devrait porter sur le respect, l’estime de soi, l’acceptation et la communication. Le ou la jeune devrait apprendre à s’exprimer avec délicatesse tout en étant claire.  S’il (elle) veut de la considération, le (la) pubère devrait respecter la décision de l’autre, qu’elle soit positive ou négative. Trop souvent l’estime chez ce groupe de personnes et le manque de confiance en eux, fait qu’ils ne peuvent accepter un refus.  Quand nous leur résistons ils peuvent devenir impatients(es) irritables, colériques et ils pourraient même avoir des comportements violents.

Le garçon ou la fille pourrait être tenté d’intimider son souffre-douleur, alors qu’il serait approprié de casser son orgueil, se tourner vers lui-même (elle-même) et prendre le contrôle de ses instincts primaires.

C’est à cette phase qu’il ou qu’elle devrait prendre conscience de quoi se compose sa personnalité : de ses gènes, son hérédité, ses prédominances, sa mentalité, sa nature, etc.  À partir de ce point, il devrait se fixer des objectifs.

Lorsque la personne (pubère) réfléchie, elle prend conscience de l’impact que ses gestes pourraient avoir dans sa vie future et, elle se tourmente. Certains (es) peuvent appréhender de façon irrationnelle les conséquences de leurs comportements. À cet âge, il (elle) est encore sous l’autorité parentale et doit leur rendre compte de ses comportements. Il (elle) devra reconnaître et accepter ses étourderies avant de les avouer à ses parents.

La personne qui refuse d’admettre sa faute tentera de se disculper. Elle racontera des histoires subjectives remplies de distorsions dans lesquelles elle s’exclut.  Il (elle) cache les détails qui pourraient l’incriminer, il (elle) ne veut pas perdre la face, alors, il (elle) argumente et se justifie : « c’est à cause que… c’est parce que… c’est la faute de… » cela leurs donnent l’impression d’être moins coupable.

La personne peut s’obstiner et se tourmenter longtemps avant d’admettre sa part de responsabilité dans la situation.  Ce qui serait favorable aux deux personnes impliquées, c’est que chacun tour à tour partage les sentiments qui les envahissent.  Ce processus détendrait l’atmosphère et conduirait à une solution juste et équitable pour les deux parties.  Cette intervention les aiderait à passer de la puberté à l’adolescence, du paraître à l’authenticité.

De la dépendance à l’autonomie. 

 

Adolescence

C’est à cette période que l’individu, homme ou femme, devient responsable de ses gestes et paroles.

À cette étape, la personne devrait poursuivre la formation qui a été amorcée dans la période de la puberté.  Elle devrait être présentée dans un style plus élaboré, incluant des renseignements adaptés à son âge. Les adolescents devraient apprendre qu’à la conception, ils ont reçu un certain bagage que nous appelons « hérédité ».  Cela est inné.  Elle découvrira qu’elle ne peut changer cet aspect, mais qu’elle peut le peaufiner jusqu’à ce qu’il soit acceptable pour elle.

L’adolescent (e) devrait commencer à se questionner sur ce qui lui a été transmis depuis sa naissance.  Ce qu’il (elle) découvrirait, c’est que ses parents et la société dans laquelle il (elle) a évolué jusqu’à maintenant lui ont inculqué leurs croyances, valeurs, et principes, et s’il le désire, il (elle) pourrait changer chacun de ces éléments. Ce qu’il (elle) devrait savoir, c’est que le moindre changement apporté dans ce système affecterait son centre de logique et d’analyse; son choix et ses décisions seraient empreints de sa personnalité.

Toutes ces découvertes lui permettraient de comprendre et d’accepter ses parents (père – mère) avec leurs différences, leurs forces et leurs faiblesses. S’il existait un sentiment de rancune, il serait remplacé par de la reconnaissance. Cette nouvelle attitude entraînerait une ouverture d’esprit qui conduirait à une discussion en JE, dans lequel le jeune exprimerait ses sentiments, sans blâmer ni critiquer l’éducation qu’il a reçue dans son enfance.

À cette étape l’individu devra faire des choix importants qui auront une incidence dans sa vie future, que ce soit sur le plan professionnel ou amoureux. Son attitude envers son partenaire amoureux sera remplie de délicatesse et de tendresse. Les discussions qu’il (elle) initiera reflèteront celles qu’ils ont mises en application dans leur famille respective.

Par ce processus, il fera ses choix par lui-même et pour lui-même. Il les assumera ou les modifiera à sa discrétion. Ses comportements seront le reflet de ses états d’âme: orgueil, susceptibilité, violence, dépendance, insécurité, anxiété, jalousie, insouciance, analytique (gratter le bobo) qui sont des attitudes négatives, ou adopter un comportement positif tel que : tolérance, détermination, sécurité, ambition, attention, imagination, etc…

S’il (elle) veut découvrir la cause de ses difficultés, il (elle) devra faire son introspection avec franchise et honnêteté.

L’adulte 

À cette étape, l‘individu commence à se définir.  Il devrait être autonome, responsable de ce qu’il est, de ce qu’il fait, de ce qu’il possède.

Sa personnalité se construit peu à peu.  Elle est complexe, elle est le fruit d’un travail continu de l’esprit; elle est faite de ses souvenirs, de ses sentiments, de ses idées. L’essentiel de celle-ci est son caractère d’unité et d’identité.  Elle fait partie d’un même ensemble qui se compose de la diversité de nos états d’âme, de notre système émotionnel. Ce dernier est façonné des valeurs, des croyances et des principes (VCP), qui nous ont été transmis dans notre enfance.  C’est sur ce système que nous nous basons pour analyser les événements avant de prendre nos décisions et de faire nos choix.

Notre individualité se forme dès la naissance par ce qui nous a été légué; par le sang, par notre ADN, par notre génétique (entre autres : l’hérédité de nos traits physiques, notre timbre de voix, nos traits de caractère, nos tempéraments, etc…) La particularité est que cela persiste tout au long de notre existence.

À cette période, la personne devra être authentique, autonome, franche et honnête.  Elle sera confrontée à des décisions, à des choix et devra les endosser.  En même temps, l’adulte est reconnu courageux lorsqu’il admet ses erreurs. Sans se justifier, sans accuser l’autre, il les assume et les corrige lui-même.

À ce stade, ce qui serait bénéfique pour la société serait qu’une personne adulte puisse partager les connaissances qu’elle a acquises depuis sa naissance. Chacun aurait le libre arbitre d’accepter les informations ou de les rejeter. Si elle acquiesce aux connaissances que l’autre lui partage, elle passerait à l’action promptement.  Plusieurs autres individus pourraient en bénéficier et la société évoluerait.

Le premier choix auquel elle devra faire face, c’est celui de sa profession. Il est important qu’il la choisisse librement; ça lui appartient.

La deuxième option est celle de son mode de vie. Si elle choisit le célibat, elle devra en être fière. Si elle choisit le régime matrimonial et fonder une famille, ce sera sa libre décision, sans avoir à recourir à l’approbation parentale.

Si elle adopte l’idée de vivre en conjoint de fait, elle doit le faire à sa convenance, même chose si elle est déterminée à vivre ou à se marier avec une personne du même sexe; elle devra l’annoncer avec dignité.

L’adulte responsable est fière de ses choix même s’ils sont contraires aux principes de la société.

Avant-propos

Qu’est-ce qui m’a poussé à faire une recherche sur la psychologie? C’est que j’avais cru à une science controversée : la psychologie. Celle-ci m’a rendu malade.

Le professionnel qui appliquait cette science avait déduit que j’étais une mauvaise mère et que j’étais un danger pour mes enfants; que je devrais consulter un psychiatre. J’ai dû attendre six mois avant de le rencontrer.

J’étais remplie d’émotions, ce qui m’a occasionné de l’angoisse. Je ne parvenais pas à me souvenir de ce que j’avais fait subir à mes enfants, ce qui me revenait constamment dans la tête. Quelle éducation je leurs avais inculquée? Quand j’ai rencontré le psychiatre, il m’a informé que je ne souffrais d’aucune maladie mentale.

J’ai voulu savoir sur quoi le psychologue s’était basé pour déduire et m’accuser de choses aussi graves. J’ai sorti mes dictionnaires, j’ai cherché la définition de psychologie. Il est écrit que cette science est controversée; elle forme les psychologues pour analyser les états d’âme et les comportements d’autrui, alors qu’ils nous disent que la personne est unique.

J’ai voulu développer sur le sujet, à savoir : qu’est qui fait qu’une personne est unique. Pour le découvrir, je me suis servi d’un sac.

Dans mes ateliers, j’en remettais un à chaque personne. Après quelques séances ils m’ont demandé qui avait pensé à ça. Moi de leurs répondre : «C’est moi.» «Petit génie tu es», m’a-t-on dit.

Ledit sac, la personne devait le remplir de ses connaissances. C’étaient les outils dont elle aurait besoin pour diriger sa vie. Il était important qu’elle les place elle-même. Elle est la seule à en connaître l’ordre dans lequel elle les a classés.

À la période de l’enfance, j’explique le processus qui confirme la singularité d’un individu. D’ailleurs, dans mon premier livre, il est question de cedit sac.

En développant le contenu de Mon sac, j’ai découvert que j’avais cru en une science conflictuelle, ce qui m’avait rendu malade.

J’ai commencé par vouloir comprendre le système émotionnel. Après l’avoir assimilé, j’ai compris le processus qu’utilise l’être humain pour arriver à se causer des émotions. L’interprétation que je fais des événements me cause des sentiments, ce qui me met dans des états qui me poussent à des attitudes.

Toute déduction que nous faisons sur autrui, sans en avoir vérifié la véracité, devient un jugement téméraire. Si nous la partageons, cela détruit la réputation de la personne, et brise un bout de sa vie.  Il est important d’être prudent lorsque nous blâmons et accusons une personne.

Mon vécu et mes dictionnaires, m’ont permis de développer une nouvelle méthode d’intervention qui protège la personnalité d’autrui, appelé (analyse de soi), mon appellation (Accompagnatrice).

GENETIQUE

Cela signifie que nous sommes assujettis à nos ascendants par la transmission des caractères physiques et moraux d’un ou des ascendants (hérédité ancestrale.)

L’hérédité directe et l’hérédité indirecte.

L’hérédité directe est celle des parents aux enfants tandis que l’hérédité indirecte est celle qui est hors de ligne directe, soit, celle de la parenté, qu’elle soit descendante ou ascendante. Nous sommes liés par la ressemblance et de la consanguinité.

L’hérédité est la transmission des caractères morphologique, aux tendances, aux aptitudes d’un être vivant à ses descendants. Depuis une soixantaine d’années, il existe une science spéciale de l’hérédité selon laquelle nous tentons de nous expliquer l’ensemble des caractères transmissibles

Les données que Darwin qualifie d’accidents héréditaires qui se reproduisent chez les descendants au même âge où ils sont apparus chez les ascendants. Par exemple toute particularité morale ou physique, mais plus fréquemment, une tare qui existait déjà chez les parents, les ancêtres.

L’hérédité c’est notre griffe, notre signature, c’est ce qui marque notre personnalité, et qui influence notre vie. Même si l’individu tente de la dissimuler, de la nier, le bon et le moins bon seront perceptibles à travers ses ascendants (parents, et grands-parents).

Ce qui s’ajoute au caractère, au tempérament, ce sont les maladies physiques et la maladie mentale en fait partie.

En effet, la maladie mentale est héréditaire, innée. Elle a été transmise par les parents, eux l’ont reçu de leurs parents à la conception. Elle est physiologique et provient des gènes, des cellules de l’individu. Chacun de nous a reçu le sang des parents, ce sang contient son A.D.N. personnel, et son propre système génétique. Maintenant que nous avons établi que l’hérédité est responsable de la condition physique d’un individu et qu’elle est causée par un système organique déréglé, désorganisé.

Plus de connaissances, moins de culpabilité si nous avions su que l’hérédité prenait autant de place dans ce que nous sommes, tant physiquement qu’émotionnellement, notre vie aurait été différente. Nous ne nous serions pas laissé envahir par tous ces sentiments négatifs (honte, culpabilité, rejet, irritation, rage) qui nous ont poussés vers des comportements répréhensibles qui ont entraîné des accusations, des punitions, même des condamnations qui nous ont privés de liberté.

Nous avons reçu le gène de la maladie mentale dès notre conception, il serait possible de la dépister et de la corriger dès l’enfance. Cela nous éviterait de traîner les répercussions des bêtises que cette maladie a déclenchées chez nous.

ADN

C’est une marque permanente et personnelle. Elle nous identifie partout où nous allons. L’empreinte de nos pas, de nos doigts sont importantes pour le système judiciaire.